Like almost everyone on the NBA planet, Kobe Bryant went through the famous grill of the best 5 major all-time. The opportunity for the Black Mamba to propose a rather crazy line-up, which we can’t imagine how it could lose a game…
Ah, the famous rankings and the hierarchy of players. The art of giving top 3s, top 5s or top 10s has become a real institution, and the players themselves are often questioned about it… and sometimes embarrassed by not wanting to forget anyone.
But beyond a pure classification sometimes a little strange since all the stars do not obviously play the same position, there is the concept of « all-time line-ups » – meaning not the 5 best players, but the best 5 major. It is with this in mind that Kobe Bryant was interviewed during a visit to China a little over a decade ago.
Kobe Bryant drops his all-time 5, LeBron’s absence excused
After an initial « wow » that spoke volumes about how difficult it is to answer these types of questions without being prepared for them, the Lakers star dropped the hammer:
La première chose qui saute aux yeux est évidemment l’absence de LeBron James. Rassurez-vous : celle-ci est explicable par le fait que l’interview se soit déroulée en 2009, quand le King n’avait que 25 ans et n’avait encore accroché aucune bague à sa main. Kobe n’a jamais été ré-interrogé sur le sujet, mais il est fort probable que James ait supplanté Larry Bird dans ce 5 all-time au fil des années.
La question du natif d’Akron étant réglée, penchons-nous rapidement sur la line-up de Bryant. Magic Johnson figure au poste de meneur, ce qui ne surprendra personne au vu de ses 5 bagues et de son pedigree de Laker. Michael Jordan est une évidence en tant qu’arrière, tout comme l’était, à l’époque et avant l’émergence de LeBron James, Larry Bird sur le poste 3.
Finalement, le choix le plus intéressant de Kobe se situe dans la raquette. Au lieu de choisir un ailier-fort traditionnel, le Mamba snobe Tim Duncan, Karl Malone ou encore Charles Barkley et choisit d’aligner un duo de pivots en mode « tours jumelles » dans la peinture : Bill Russell et Wilt Chamberlain. Malheureusement, « Bean » n’a pas élaboré sur la raison de ce choix – son explication aurait sûrement été passionnante…
